L'amour ne disparaît jamais. Je suis seulement passé dans la pièce d'à côté. Je suis moi et vous êtes vous. Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné.
Ce nom à lui tout seul évoque de la joie,
de l’amour des chansons, des baisers, des caresse,
ce nom que tous les jours on murmure tout bas
dans les moments heureux comme dans la détresse.
Si vous prenez la peine d'écouter dans le courant d'air de cette église, vous pourrez entendre ma voix qui vous dit : « Ne soyez pas triste, ne pleurez plus mon départ, où je me trouve maintenant, je suis bien ».